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Les deux Cœurs Unis


L'essentielle révélation du Christ qu'il importe à tout homme de connaître et de ne jamais oublier, trois petits mots, en quelques traits de feu, suffisent à l'énoncer : " DIEU EST AMOUR "
La première encyclique que réalisa Benoît XVI : Deus caritas est – Dieu est amour.
 
1er siècle :
 
Saint Joseph, premier adorateur des deux Très Saints coeurs
 

  • Eusèbe de Césarée (†399) avait interprété la décision de Joseph de renvoyer Marie en secret comme étant dictée par un respect cultuel devant le dessein divin : ce mystère est trop élevé pour que Joseph puisse garder Marie auprès de lui.
 
  • Saint Jérôme (347-420) : « Comment Joseph est-il déclaré « juste » si l'on suppose qu'il cache la faute de son épouse ? Loin de là, c'est un témoignage en faveur de Marie : Joseph, connaissant sa chasteté, et bouleversé [latin : admiror] par ce qui arrive, cache, par son silence, l'événement dont il ignore le mystère. »
 
La Passion du Christ : L'un des soldats, de sa lance, lui perça le côté et il en sortit aussitôt du sang et de l'eau.” (Jn 19,34) Il est dit encore : " Ils regarderont celui qu'ils ont transpercé ".
 
3ème siècle :
 
Origène (185-254) :
 
« Il est certain que Jean a reposé à proximité du cœur de Jésus, au milieu des plus profonds secrets de sa doctrine. C'est là qu'il a puisé les trésors de science et de sagesse qui étaient cachés en Jésus-Christ. » « L'âme repose sur la poitrine du Sauveur, parce que là est le cœur, dont le rôle principal est l'amour. »
 
4ème siècle :
 
Saint Grégoire de Nazianze (330-390) :
 
« Y a-t-il un exemple plus grand que celui qui nous vient du cœur de Jésus ? Il est l'unique original de toute sainteté. Toutes les vertus y sont renfermées comme dans leur source. Et, parce que, seul, Il les possède d'une manière indépendante, Il nous les donne de son plein gré, par le seul mouvement de sa charité. »
 
Saint Ambroise (339-397) :
 
« Son cœur, qui a été transpercé par la lance, est devenu notre cœur et par lui nous aimons le Père. »
 
5ème siècle :
 
Saint Paulin (353-431) :
 
« Jean, qui eut le bonheur de reposer sur la poitrine du Seigneur, puisa dans le cœur même de la Sagesse créatrice des pensées plus hautes que toute  créature. »
 
11ème siècle :
 
Saint Anselme (1033-1109) :
 
« Vous vous êtes engagé à nous donner un cœur et un esprit nouveau, si nous rentrons en nous-mêmes, et vous avez promis de nous fixer dans votre Cœur et dans votre Ame … Je veux répondre à votre appel, ô mon Dieu, en revenant au cœur, c'est-à-dire à Vous-même qui êtes ce Cœur où mon âme vit … C'est ce cœur pur que je vous demande, ô mon Dieu, de créer en moi »
 
« Examinez, je vous prie, quel est le disciple qui repose sur le Cœur de Jésus … Sur le Cœur adorable, Jean s'enivra du vin de l'allégresse dans la contemplation de la divinité … En ouvrant ses bras, il nous montre qu'il désire ardemment nous serrer dans son Cœur … Cette blessure ne nous a-t-elle pas révélé les trésors infinis de sa bonté, c'est-à-dire, toute la charité de son Cœur pour nous ? »
 
12ème siècle :
 
Saint Bernard (1090-1153) :
 
« Puissé-je mériter d'habiter dans votre Cœur tous les jours de ma vie … Votre Cœur a été blessé afin que nous puissions habiter en Lui, en Vous-même Qui n'aimerait un Cœur blessé de la sorte ? »
 
13ème siècle :
 
Saint Antoine de Padoue (1195-1231) :
 
« (La plaie du côté) mène à son Cœur et c'est là qu'il appelle l'âme dont il a fait son épouse … il lui a ouvert son côté et son Cœur pour qu'elle vienne s'y cacher … l'âme religieuse trouvera dans le Cœur de Jésus, avec un asile contre les machinations de Satan, une délicieuse retraite. »
 
Saint Bonaventure (1217-1274) :
 
Il insiste en particulier sur son désir de pénétrer dans le Cœur de Jésus « pour y fixer sa demeure à jamais » « Pour que l'Église fût formée du côté du Christ mort sur la croix et afin que s'accomplît cette parole de l'Écriture : «Ils verront celui qu'ils ont transpercé» (Za 12,10; Jn 19,37), la Providence divine permit à un soldat d'ouvrir son côté très saint en le perçant de sa lance. Alors le sang coula mêlé d'eau, et le prix de notre salut fut versé ; ce prix qui, sorti au secret de son cœur comme d'une source, donna aux sacrements de l'Église la puissance de conférer la vie de la grâce et devint pour ceux qui vivent dans le Christ un breuvage d'eau vive jaillissant jusqu'à la vie éternelle (Jn 4,14).
 
Saint Thomas d'Aquin (1225-1274) :
 
Le Cœur de Jésus est pour lui la porte de la vie éternelle, le témoignage d'une très grande dilection, un principe de foi et de persévérance, le remède au péché.
 
Sainte Mechtilde (1241-1298) :
 
O très doux Cœur de Jésus, mélodieux instrument de la Sainte Trinité, je vous salue.
O Cœur très aimant, précieux trésor où sont renfermées toutes les richesses des cieux, je vous salue ! Mille et mille fois je bénis et révère votre bonté, parce que vous êtes la source de toute grâce et de toute miséricorde.
O divin Cœur de Jésus, soyez béni ! C'est de vous qu'ont jailli et que jailliront les dons du ciel dans ces âmes pures et saintes que si souvent vous avez arrosées et enivrées de vos délices.
O Cœur de Jésus, Cœur si digne d'être aimé, je veux ensevelir dans les profondeurs de votre miséricorde le lourd fardeau de mes négligences et de mes iniquités ! Je veux offrir mes travaux, mes angoisses et mes misères ; je vous recommande ma vie et la fin de mes jours.
O Cœur de Jésus, si suave, si doux et parfaitement aimable, offrez-vous comme une victime d'agréable odeur, en holocauste de suavité, sur l'autel d'or de notre réconciliation ; et tirez de votre plénitude de quoi suppléer à l'insuffisance de nos actes réparateurs.
Et vous, Trinité adorable, je vous loue, je vous glorifie et je vous bénis pour toutes les prérogatives dont vous avez comblé le très Saint Cœur de Jésus ; je vous l'offre respectueusement avec toutes ses excellences, et je vous supplie de réparer tout le mal que j'ai commis, tout le bien que j'ai négligé de faire.
Jésus, mon Dieu, je vous aime par-dessus tout. Amen.
 
Sainte Gertrude (1256-1302):
 
" Je fais pour toujours de ton cœur un canal uni à mon Cœur. Par toi s'épancheront, dans les âmes humbles et confiantes qui les demanderont à ton cœur, les flots de consolation divine qui découlent du mien " "Qui entre dans le coeur de Jésus y trouve sa demeure et ne désire plus en sortir" « Là, dans l’Eucharistie, dans la généreuse bonté de mon Cœur, je guéris les blessures de tous les hommes, je procure le soulagement aux pécheurs, j’enrichis la pauvreté par le don des vertus, et je console chacun dans les épreuves. » « S'il me fallait écrire tous les biens qui me sont venus du très bénigne Cœur de Jésus, un livre gros comme celui des Matines n'y suffirait pas. » Et ailleurs, elle dit : « Par ce Cœur nous recevons la communication de tous les biens. »
 
A plusieurs reprises Gertrude entendit la plainte d’un Coeur blessé, méconnu, mal aimé, dévoré de passion pour tous les hommes et elle ressentait au fond d’elle même les violentes pulsations de son propre coeur qui s’en allaient frapper le Coeur de son Amant, Cœur ruisselant de suavité: “Et comme les très saintes pulsations qui faisaient battre sans cesse le Cœur divin lui causaient une jouissance indicible,” elle demanda à Saint Jean s’il n’avait pas ressenti la même chose quand il reposa sur la poitrine de Jésus. Jean répondit affirmativement mais explicita sa mission de l’époque: seulement faire connaître le Verbe incréé de Dieu le Père. La révélation du Cœur de Jésus “était réservée aux temps actuels... pour que le monde puisse retrouver sa ferveur.”
 
14ème siècle :
 
Sainte Catherine de Sienne (1347-1380).
 
« … tant que je ne serai pas parvenue à me cacher toute entière dans votre divin Cœur, je ne goûterai jamais le repos. » Elle écrivait à un prêtre : « Dans le côté du Christ, vous trouverez l'amour de son Cœur, car tout ce qu'il a fait pour nous, a été fait avec l'amour de ce Cœur. »
 
16ème siècle :
 
Saint Pierre Canisius (1521-1597) :
 
Il méditait sur les souffrances du Cœur de Jésus qu'il saluait chaque matin tandis que le soir, son action de grâce était tournée vers ce même Cœur. Il commençait ses occupations en invoquant le Sacré-Cœur et dans son testament, il nous a laissé un monument de son Amour pour le Sacré-Cœur.
 
« Je vous loue, je vous bénis, je vous glorifie et je vous salue, ô Cœur très doux et très aimant de Jésus-Christ ! mon très fidèle ami. Je vous remercie de la fidélité avec laquelle vous m'avez gardé et protégé durant cette nuit, et avez rendu pour moi, à Dieu votre Père, les louanges et actions de grâces dont je lui étais redevable. Et maintenant, ô mon unique ami, je vous offre mon cœur, vous conjurant de faire que, durant cette journée, toutes mes pensées, mes paroles, mes œuvres et mes affections soient réglées sur le bon plaisir de votre très aimable volonté. »
 
Saint François de Sales (1567-1622) :
 
Il parle du Sacré-Cœur dans le Traité de l'Amour de Dieu et dans une lettre de 1611 à sainte Jeanne de Chantal, il écrit que « Notre petite congrégation est un ouvrage du Cœur de Jésus et de Marie. Le Sauveur mourant nous a enfantés par l'ouverture de son Sacré-Cœur. » Il disait aux religieuses de la Visitation : « Ne voulez-vous pas être les adoratrices et les servantes du Cœur de ce divin Sauveur ? »Il souhaitait qu'elles deviennent les filles du Sacré-Cœur de Jésus.
 
Il avait même été inspiré de donner pour emblème à l'ordre : " Un unique cœur percé de deux flèches ", surmonté d'une croix, entouré d'une couronne d'épines et gravé des noms de Jésus et Marie.
 
Saint Pierre Fourier (1565-1640) :
 
Mon doux Jésus, acceptez, s'il vous plaît, l'offrande très humble que je vous fais de mon cœur, afin que vous l'emprisonniez dans l'amoureuse plaie de votre côté. O la belle prison ! ô l'aimable cachot ! Que David demande des ailes pour s'envoler vers le trône de gloire ; pour moi, tout le temps que je serai dans cette vallée de larmes, je ne désire point sortir du Cœur de mon Jésus. […] O Cœur adorable, que je fonde en vous et ne sois plus qu'une même chose avec vous !
 
17ème siècle :
 
Bienheureuse Marie de l’Incarnation (1599-1672) :
 
C'est par le Cœur de mon Jésus, ma voie, ma vérité et ma vie, que je m'approche de vous, ô Père Eternel. Par ce divin Cœur, je vous adore pour ceux qui ne vous adorent pas, je vous aime pour ceux qui ne vous aiment pas, je vous reconnais pour tous les aveugles volontaires qui, par mépris, ne vous reconnaissent pas. Je veux, par ce divin Cœur, satisfaire au devoir de tous les mortels. Je fais en esprit le tour du monde pour chercher toutes les âmes rachetées du sang très précieux de mon divin Epoux, afin de vous satisfaire pour toutes par ce divin Cœur ; je les embrasse pour vous les présenter par lui et par lui je vous demande leur conversion. Eh quoi ! Père Eternel, voulez-vous bien souffrir qu'elles ne reconnaissent pas mon Jésus, et qu'elles ne vivent pas pour lui, qui est mort pour tous ? Vous voyez, ô divin Père, qu'elles ne vivent pas encore ; ah ! faites qu'elles vivent par ce divin Cœur.
Sur cet adorable Cœur, je vous présente tous les ouvriers de l'Evangile, afin que, par ses mérites, vous les remplissiez de votre Esprit Saint. Sur ce Cœur Sacré, comme sur un autel divin, je vous présente en particulier … [intention].
Vous savez, ô Verbe incarné, Jésus mon Bien-Aimé, tout ce que je veux dire à votre Père, par votre divin Cœur et par votre sainte Ame. Je vous le dis en le lui disant, parce que vous êtes en votre Père et que votre Père est en vous ; faites donc tout cela avec lui. Je vous présente toutes ces âmes, faites qu'elles soient une même chose avec vous.
Amen.
 
Sœur Jeanne-Marie de la Croix (1603-1673) :
 
O Jésus, mon amour, le vrai bonheur de l'âme est de se reposer dans votre Cœur, dépouillée de tous les objets terrestres, dans un bienheureux oubli de tout ce qui n'est pas Dieu et de sucer ainsi le lait de votre sagesse. Que mes yeux ne voient plus que vous ; que mes oreilles n'entendent que vous ; que ma langue ne parle que de vous ; que tous mes sens doucement assoupis dans votre divin Cœur, comme Jean sur votre poitrine, rêvent et parlent de vous dans un amour ineffable. O Cœur de Jésus, école de la divine vérité, où l'âme apprend et saisit ce qu'il y a de plus incompréhensible ! […] O mon Sauveur ! enfermez-moi dans la citadelle de votre Cœur. Placez des gardes à la porte, afin que mon âme n'y soit point troublée, mais qu'elle y jouisse de votre félicité dans la paix et le repos.
 
Saint Jean Eudes (1601-1680) :
 
Pour Saint Jean Eudes, le "coeur" est le symbole (matériel) de l'Amour de Dieu. Il va donc proposer à ses compagnons puis à tous les fidèles, de se tourner vers le Christ à travers ce symbolisme du coeur.
 
A Autun, le 8 février (fête du Très Saint coeur de Marie) 1648, il célèbre la première messe en l'honneur des deux Coeurs avec l'autorisation de l'évêque du lieu.
 
Pour Saint Jean Eudes, la dévotion au Coeur de Jésus s'épanoui donc sur la dévotion au Coeur de Marie. Ces deux coeurs ne faisaient pour lui qu'un seul Coeur, aussi disait-il toujours au singulier : le Coeur de Jésus et de Marie.
 
Salutations de saint Jean Eudes au Cœur de Jésus et de Marie
 
Nous vous saluons, Cœur très saint,
Nous vous saluons, Cœur très doux,
Nous vous saluons, Cœur très humble,
Nous vous saluons, Cœur très pur,
Nous vous saluons, Cœur donné sans réserve,
Nous vous saluons, Cœur très sage,
Nous vous saluons, Cœur très patient,
Nous vous saluons, Cœur très obéissant,
Nous vous saluons, Cœur très vigilant,
Nous vous saluons, Cœur très fidèle,
Nous vous saluons, Cœur bienheureux,
Nous vous saluons, Cœur plein de miséricorde,
Nous vous saluons, Cœur très aimant de Jésus et de Marie,
Nous vous adorons,
Nous vous louons,
Nous vous glorifions,
Nous vous rendons grâce,
Nous vous aimons,
De tout notre cœur,
De toute notre âme,
De toutes nos forces,
Nous vous offrons notre cœur,
Nous vous le donnons,
Nous vous le consacrons,
Nous vous le sacrifions,
Recevez-le, possédez-le tout entier,
Purifiez-le,
Éclairez-le,
Sanctifiez-le,
En lui, vivez et régnez, maintenant, toujours et à jamais.
Ainsi soit-il
 
Sainte Marguerite-Marie (1647-1690).
 
Le Sacré Coeur se présente à elle et lui découvre les merveilles de son Amour, avec l'image symbolique de son Coeur.
 
On est au 27 décembre 1673, fête du " disciple que Jésus aimait ", celui qui, à la Cène, reposa sur son cœur. Et le Seigneur choisit ce jour pour se révéler à celle qu'il va nommer : " la disciple bien-aimée de mon sacré Cœur ".
Marguerite-Marie est en prière devant le saint Sacrement quand elle se sent plus fortement investie que de coutume de la présence divine. Oubliant tout, elle s'abandonne à la force de l'Esprit d'amour. Le Christ la fait " reposer fort longtemps sur sa divine poitrine " où, écrit-elle, " il me découvrit les merveilles de son amour et les secrets inexplicables de son sacré Cœur, qu'il m'avait toujours tenu cachés jusqu'alors qu'il me l'ouvrit pour la première fois. Mais d'une manière si effective et sensible qu'il ne me laissa aucun lieu d'en douter. " Il lui dit : " MON DIVIN CŒUR EST SI PASSIONNE D'AMOUR POUR LES HOMMES ET POUR TOI EN PARTICULIER QUE NE POUVANT PLUS CONTENIR EN LUI-MEME LES FLAMMES DE SON ARDENTE CHARITE, IL FAUT QU'IL LES REPANDE PAR TON MOYEN, ET QU'IL SE MANIFESTE A EUX POUR LES ENRICHIR DE SES PRECIEUX TRESORS QUE JE TE DECOUVRE… "
 
Ce divin Cœur lui est ensuite spécialement représenté les premiers vendredis du mois " comme un soleil brillant d'une éclatante lumière ". " Une fois entre les autres, écrit-elle sans autre précision, que le saint Sacrement était exposé… Jésus-Christ, mon doux Maître, se présenta à moi tout éclatant de gloire, avec ses cinq plaies brillantes comme cinq soleils ". Des flammes sortaient de toute part, " mais surtout de son adorable poitrine qui ressemblait à une fournaise ". Il lui découvre alors " son tout aimant et tout aimable Cœur qui était la vive source de ces flammes ", et lui redit l'excès de sa tendresse pour les hommes, dont il ne reçoit " que des ingratitudes et des méconnaissances ". Il en souffre et ajoute : " S'ILS ME RENDAIENT QUELQUE RETOUR D'AMOUR, J'ESTIMERAIS PEU TOUT CE QUE J'AI FAIT POUR EUX ET VOUDRAIS, S'IL SE POUVAIT, EN FAIRE ENCORE DAVANTAGE ". La Sainte devra suppléer à ces ingratitudes : communier souvent, en plus des premiers vendredis du mois, et veiller une heure avec lui tous les jeudis, de onze heures à minuit.
 
Eprouvée en sa santé, elle s'unit à la croix et Dieu la visite. Les trois Personnes de la Sainte Trinité lui apparaissent une fois " sous la forme de trois jeunes hommes vêtus de blanc, tous resplendissants de lumière, de même âge, grandeur et beauté ".
 
L'apparition la plus célèbre est celle de juin 1675. Un jour de l'octave de la Fête-Dieu, le saint Sacrement est exposé : Marguerite-Marie l'adore. Lui découvrant " son divin Cœur ", Notre Seigneur lui dit : " VOILA CE CŒUR QUI A TANT AIME LES HOMMES, QU'IL N'A RIEN EPARGNE JUSQU'A S'EPUISER ET SE CONSOMMER POUR LEUR TEMOIGNER SON AMOUR. ET, POUR RECONNAISSANCE, JE NE RECOIS DE LA PLUPART QUE DES INGRATITUDES, PAR LEURS IRREVERENCES, ET PAR LES FROIDEURS ET LES MEPRIS QU'ILS ONT POUR MOI DANS CE SACREMENT D'AMOUR… C'EST POUR CELA QUE JE TE DEMANDE QUE LE PREMIER VENDREDI D'APRES L'OCTAVE DU SAINT SACREMENT SOIT DEDIE A UNE FETE PARTICULIERE POUR HONORER MON CŒUR, EN COMMUNIANT CE JOUR-LA ET EN LUI FAISANT REPARATION D'HONNEUR… "
 
Promesses faites par N.S. Jésus-Christ à sainte Marguerite-Marie en faveur des personnes qui pratiquent la dévotion à son Sacré-Cœur
 
1. Je leur donnerai toutes les grâces nécessaires à leur état.
2. Je mettrai la paix dans leur famille.
3. Je les consolerai dans toutes leurs peines.
4. Je serai leur refuge assuré pendant la vie et surtout à la mort.
5. Je répandrai d'abondantes bénédictions sur toutes leurs entreprises.
6. Les pécheurs trouveront dans mon Cœur la source et l'océan infini de la miséricorde.
7. Les âmes tièdes deviendront ferventes.
8. Les âmes ferventes s'élèveront à une grande perfection.
9. Je bénirai moi-même les maisons où l'image de mon Sacré-Cœur sera exposée et honorée.
10. Je donnerai aux prêtres le talent de toucher les cœurs les plus endurcis.
11. Les personnes qui propageront cette dévotion auront leur nom écrit dans mon Cœur, où il ne sera jamais effacé.
12. Je te promets, dans l'excessive miséricorde de mon Cœur, que son amour tout-puissant accordera à tous ceux qui communieront les premiers vendredis du mois, neuf mois de suite, la grâce de la pénitence finale, qu'ils ne mourront point dans ma disgrâce, ni sans recevoir les Sacrements, et que mon divin Cœur se rendra leur asile assuré aux derniers moments.
 
Litanies du Sacré-Cœur
 
Seigneur, ayez pitié de nous.
Jésus-Christ, ayez pitié de nous.
Seigneur, ayez pitié de nous.
Jésus-Christ, écoutez-nous.
Jésus-Christ, exaucez-nous.
Père céleste qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.
Fils, Rédempteur du monde, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.
Esprit Saint, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.
Trinité sainte, qui êtes un seul Dieu, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, Fils du Père éternel, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, formé par le Saint Esprit dans le sein de la Vierge Marie, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, uni substantiellement au Verbe de Dieu, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, d'une infinie majesté, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, temple saint de Dieu, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, tabernacle du Très Haut, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, maison de Dieu et porte du ciel, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, fournaise ardente de charité, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, sanctuaire de la justice et de l'amour, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, plein d'amour et de bonté, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, abîme de toutes les vertus, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, très digne de toutes les louanges, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, roi et centre de tous les cœurs, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, en qui sont tous les trésors de la sagesse et de la science, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, en qui réside toute la plénitude de la divinité, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, objet des complaisances du Père, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, dont la plénitude se répand sur chacun de nous, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, le désiré des collines éternelles, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, patient et très miséricordieux, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, libéral pour tous ceux qui vous invoquent, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, source de vie et de sainteté, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, propitiation pour nos péchés, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, saturé d'opprobres, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, broyé à cause de nos fautes, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, obéissant jusqu'à la mort, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, percé par la lance, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, source de toute consolation, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, notre vie et notre résurrection, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, notre paix et notre réconciliation, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, victime des pécheurs, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, salut de ceux qui espèrent en vous, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, espérance de ceux qui meurent dans votre amour, ayez pitié de nous.
Cœur de Jésus, délice de tous les saints, ayez pitié de nous.
Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, pardonnez-nous, Seigneur,
Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, exaucez-nous, Seigneur,
Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, ayez pitié de nous.
Jésus, doux et humble de cœur, rendez nos cœurs semblables au vôtre.
Prions : Dieu tout-puissant et éternel, regardez le Cœur de votre Fils bien aimé et soyez attentif aux louanges et aux satisfactions qu'il vous offre au nom des pécheurs. Apaisé par ces divins hommages, accordez avec bienveillance le pardon à ceux qui implorent votre miséricorde, au nom de ce même Jésus-Christ, qui étant Dieu, vit et règne avec Vous dans les siècles des siècles.
Ainsi soit-il.
 
18ème siècle :
 
Saint Louis-Marie Grignon de Montfort (1673-1716),
 
4. Anges, dites-moi, je vous prie,
Quel est ce beau brasier de feu ?
C'est le Cœur du Fils de Marie
Et du Fils unique de Dieu.
 
9. O merveille tout ineffable !
Cœur plein de la divinité !
Cœur infiniment adorable,
dans la très Sainte Trinité !
 
33. En louant ce cœur adorable,
Je loue avec proportion
Le cœur de sa Mère admirable,
Tant est grande leur union.
 
35. Chrétien, par le Cœur de Marie
On aime le Cœur de Jésus,
Puisque Jésus a pris vie
Dans son Cœur et dans ses vertus
 
36. Du Sang de son Cœur tout de flamme
Le Cœur de Jésus est formé ;
Ils n'ont qu'un cœur, ils n'ont qu'une âme,
L'un et l'autre doit être aimé.
 
37. Ame, perdez-vous sans partage
Dans ces deux Cœurs miraculeux,
L'un avec l'autre vous engage
A n'en voir qu'un seul dans les deux.
 
38. Chère âme, montez en cachette
Par ce cœur tendre au Cœur très haut.
Vous deviendrez bientôt parfaite
En aimant ce Cœur comme il faut.
 
Dieu seul.
 
19ème siècle :
 
Sainte Catherine Labouré (1830) :
 
La Vierge apparaît et lui présente la "Médaille Miraculeuse" au revers de laquelle se trouvent les deux Coeurs. L'un entouré d'une couronne d'épine et l'autre transpercé d'un glaive, celui de Marie selon la prophétie de Siméon en Luc 2, 35 : les deux Coeurs de Jésus et de Marie.
 
20ème siècle :
 
Les apparitions de Fatima (1917) :
 
Lucie disait que "le Coeur de Jésus veut être vénéré avec celui de sa Mère" ; et prend une place croissante dans les révélations successives de la voyante Lucie, culminant dans la petite phrase « A la fin, mon cœur immaculé triomphera »
 
La bienheureuse Jacinthe de Fatima disait, en unissant les deux Cœurs :
 
« Si je pouvais mettre dans le cœur de tout le monde le feu que j'ai là dans ma poitrine, et qui me brûle et me fait tant aimer le Cœur de Jésus et le cœur de Marie ! »
 
La Grande Promesse du Cœur Immaculé de Marie
 
Tous ceux qui, pendant cinq mois, le premier samedi, se confesseront, recevront la Sainte Communion, réciteront un chapelet, et me tiendront compagnie pendant quinze minutes en méditant sur les quinze mystères du Rosaire, avec l'intention de me faire réparation, je promets de les assister à l'heure de la mort avec toutes les grâces nécessaires pour le salut de leur âme.
 
Le 10 décembre 1925, la Très Sainte Vierge apparut à Lucie de Fatima, et à côté d'elle, suspendu sur une nuée lumineuse, l'Enfant Jésus. La Très Sainte Vierge mit sa main sur l'épaule de Lucie et lui montra, en même temps, un Cœur entouré d'épines qu'elle tenait dans l'autre main. Au même moment, l'Enfant Jésus lui dit:
 
"Aie compassion du Cœur de ta Très Sainte Mère, couvert d'épines, que les hommes ingrats lui enfoncent à tout moment, sans qu'il y ait personne pour faire un acte de réparation afin de les en retirer."
 
Ensuite, la Très Sainte Vierge lui dit:
 
"Vois, ma fille, mon Cœur entouré d'épines, que les hommes ingrats lui enfoncent à tout moment, par leurs blasphèmes et ingratitudes. Toi, du moins, tâche de me consoler, et dis que tous ceux qui, pendant cinq mois, le premier samedi, se confesseront, recevront la Sainte Communion, réciteront un chapelet, et me tiendront compagnie pendant quinze minutes en méditant sur les quinze mystères du Rosaire, avec l'intention de me faire réparation, je promets de les assister à l'heure de la mort avec toutes les grâces nécessaires pour le salut de leur âme."
 
Marthe Robin (1902-1981) :
 
Père éternel, par les divins Cœurs de Jésus et de Marie et par votre Esprit d'Amour, je vous offre les plaies sacrées de Jésus mon Sauveur, son sang précieux, sa face adorable, son cœur sacerdotal et eucharistique, … en union avec Marie, et en particulier pour les âmes consacrées et pour vos prêtres… Je vous offre Jésus, la Sagesse Eternelle et le Souverain Bien…
Dans ces abîmes sans fond de miséricorde, de pardon et d'amour du Cœur de Jésus, je noie l'iniquité, la haine et l'impiété.
Dans son sang rédempteur, sanctificateur et divin, je plonge les âmes coupables, ingrates et aveugles.
Je cache les âmes craintives, timides et défiantes dans ses plaies sacrées.
Je submerge les cœurs froids, endurcis et rebelles dans l'océan infini de sa tendresse.
J'emporte les prêtres, tous les prêtres dans ces demeures réservées à eux seuls.
J'enfonce le monde universel dans son Cœur brûlant d'amour pour tous.
Enfin dans ce brasier purificateur, pacificateur et sanctificateur, je jette, ô mon Père des Cieux, toutes vos créatures susceptibles de régénération, de perfection et d'amour, tous les égarés, les indécis, les infidèles, tous les pauvres pécheurs, et Vous supplie de les recevoir, de les garder, de les transformer, de les consumer tous dans votre immense amour.
O Justice éternelle de la Sainteté Souveraine et Infinie de mon Dieu, voici Jésus. Soyez satisfaite par ses mérites surabondants qu'Il a bien voulu déposer en moi. Payez-vous à l'infini, dédommagez-vous de la gloire que vous a ravie Lucifer et toute sa légion orgueilleuse et après lui toutes les âmes coupables et indélicates.
O Amour inexprimable et incompréhensible, ô Charité suprême et infinie, soyez emportés dans les âmes par les flammes toutes puissantes de son divin Cœur…
Recevez éternellement… sans jamais d'interruption, de ralentissement, de fléchissement et d'oubli, votre Christ Jésus, l'Eternel Infini en qui je m'anéantis sans cesse sous la conduite du St-Esprit et avec Marie ma Mère, pour le parfait accomplissement de tous vos desseins d'amour dans l'Eglise et dans le monde.
Mon Dieu, le silence répond mieux que les multiples ardeurs de mon amour pour Vous. Prenez Jésus, tout Jésus, et daignez lire vous-même en sa pensée divine qui est la vôtre, les intraduisibles caractères de feu que votre Esprit de charité a si profondément imprimés en mon âme et dans tout mon être, à tout jamais anéantis au cœur de votre unité.
 
Kérézinen (1938-1964)
 
Où il est dit "c'est par nos deux Coeurs unis en tout, criblés des mêmes blessures et continuellement martyrisés par l'ingratitude des hommes ..."
 
«Que signifient ces deux Rayons rouge et blanc qui partent du Cœur de Notre Seigneur ?»
 
La très Sainte Vierge : Ces Rayons blanc et rouge représentent l'Eau et le Sang qui jaillirent du Cœur de mon Fils lorsqu'il fût ouvert sur la Croix. Le blanc symbolise l'Eau qui purifie l'âme et le rouge, le sang qui est la vie de l'âme. Vous avez des mérites infinis à méditer ou à invoquer cette Eau et ce Sang qui jaillirent comme une source de Miséricorde pour vous tous du Coeur de votre Divin Sauveur
 
Garabandal (1963)
 
Où Conchita déclare "les coeurs de Jésus et de Marie qui nous aiment" à la fin de sa dernière rencontre avec la Vierge le 13 novembre 1965.
 
« Je viens pour tous mes enfants en souhaitant les rapprocher de nos coeurs »
 
« Priez-nous sincèrement, et nous vous exaucerons »
 
Jean-Paul II :
 
Nous ressentons encore davantage à quel point Marie nous conduit au Christ. C'est Elle le chemin le plus bref pour parvenir au Coeur de Jésus, où nous pouvons puiser les dons extraordinaires de son amour et de sa miséricorde"
 
21ème siècle :
 
Le petit enfant de la Divine Volonté :
 
Extraits du message donné le 6 janvier 2013 :
 
« Mon tout petit, je veux récupérer Mon Dimanche. Mon Cœur saigne de ce que vous en avez fait. La première bataille que nous allons mener et gagner ensemble est celle du Dimanche : Ce sera reconnu comme la première victoire de nos deux Cœurs Unis ! La bataille deviendra alors extrêmement claire et les persécutions de mon Eglise, jusqu’à son tombeau, seront ouvertes. Que de haine contre Moi qui ne suis qu’Amour ! Possédées par l’esprit du monde, vos sociétés vont perdre la tête et enrageront de cette victoire. C’est là qu’une partie de mon petit Reste obtiendra le manteau blanc du martyre. Persévérez avec Foi, Je suis avec vous à chaque instant, n’en doutez pas. » (…)
« La Sainte Messe est intimement liée à mon Dimanche. Et le chapelet est la plus grande arme qui soit. » (…)
 
Extraits du message donné le 20 janvier 2013 :
 
« On vous moquera, on vous insultera, on vous martyrisera. Je serai avec vous à chaque instant »
« On fera tout pour me faire disparaître totalement »
« Des informations contradictoires viendrons de vos médias pour tourner Mon Eglise en ridicule et finir par la détruire. Ayez confiance mes enfants, car même quand elle semblera avoir disparu, même quand il vous semblera que le monde M’a supprimé, Je serai là au milieu de vous, plus présent que jamais ! C’est là votre épreuve de purification ! »
« Les choses iront très vite et vous ne reconnaîtrez plus même vos vies passées »
« Ces messages seront donnés et lus par vous aussi mes enfants qui ne me connaissez pas. »
« Invoquez mon Esprit Saint à tout instant car il est là qui s’en vient renouveler la face de la Terre ».
« Votre monde ne sera plus comme avant. En un instant tout votre vécu va changer. Gardez confiance et foi car les événements s’en viennent maintenant ».
 
Extraits du message donné le 2 février 2013 :
 
« Il me faut vous parler de ce qui s’en vient, peu en sont conscients. Si la fête de mon saint Jean Bosco a été vécue par vous avec recueillement, gardez à votre portée et relisez souvent le songe que Je lui ai donné afin qu’il soit transmis aux générations et reconnu.
 
Mes enfants, il y a trois choses dont vous ne pouvez pas vous écarter au prix d’y perdre votre âme et du moindre de sombrer dans la confusion.
 
La première, c’est ma Sainte Messe, avec au centre de Celle-ci Mon Saint Sacrifice perpétuel, dans l’Eucharistie. Ma Sainte Messe n’est pas un repas, ce n’est pas un souvenir !! Ce ne le sera jamais !! C’est le Très Saint Sacrifice perpétuel et renouvelé de votre Jésus ! Oui, Je suis sur la Croix pour vous sauver et ce, à chaque Sainte Messe !
 
La deuxième chose, c’est Ma Sainte Mère, votre Maman. Vous devez comprendre qu’elle est le meilleur chemin qui mène à mon Sacré Cœur. Elle seule vous mènera de la manière adéquate sur Mon Chemin. Vous ne pouvez me suivre correctement en votre temps sans passer par Ma Mère qui est la Vôtre ! Ne discutez pas ce point ! Je vous ai donné Ma Mère au Golgotha ! Si des blessures vous rendent difficile ce chemin vers Ma Mère, appelez-Moi dans le silence de votre cœur et Je vous guérirai.
 
La troisième chose, c’est Mon Saint Père. Aimez-le beaucoup, comme si c’était Moi ! Car mon Esprit Saint l’accompagne et il vous guide, quoique vous pensiez. Ecoutez-le ! Non par la voix détournée de certains médias qui veulent Me voir disparaître par le moyen d’attaques assidues à son encontre, mais suivez et recherchez les textes, les paroles intégrales qu’il vous donne au quotidien. Mon Esprit parle à travers lui. Ne démissionnez pas mes enfants. Vous baissez si vite les bras et vous voulez vous en sortir seuls, par vos propres moyens. Le Malin saisit ainsi l’occasion et déchire vos familles et Mon Eglise. Non ! Gardez courage, foi et confiance ! Appelez-Moi, Je suis toujours près de vous ! Ne quittez pas Mon Eglise sous l’un et l’autre prétexte ! Vous ne pouvez pas ! Je vous ai promis que l’enfer ne prévaudra pas contre Mon Eglise, et Ma Parole est Vérité ! Mais il faut que l’Eglise soit purifiée et qu’Elle vive sa Passion à Mon Image. Il est donc vital que vous restiez fidèles à Mon Saint Pape et à Ma Sainte Eglise jusqu’au bout ! Allez-vous fuir encore, alors que ceci est le seul chemin pour votre salut ? Mes enfants, très peu resteront auprès de Mon Pape, Mon Olivier. Celui-ci, de tristesse, s’agenouillera dans des pleurs en criant vers Moi : « Pourquoi m’avez-Vous abandonné ? » Et il faudra que Mon Olivier passe au pressoir, avec bien peu de Mes fidèles, Mon Petit Reste. Il sera frappé à mort et le monde sera dans la consternation. C’est ainsi mon tout petit que sera connue et vécue la Gloire de Mon Olivier. Ce n’est pas loin, ceci est maintenant, préparez-vous à le vivre. Ma Mère sera tout le temps à ses côtés pour recevoir son sacrifice. Mes petits, alors vous semblerez sans berger. Mais il n’en sera rien. Gardez confiance et voyez ceci comme une épreuve à passer. Gardez votre joie, car je suis là avec vous. Vous relierez ces messages à la lumière des événements et vous comprendrez. L’ennemi qui sera à l’intérieur même de ce qui lui semblera Mon Eglise aura ce sursaut de victoire et d’orgueil, mais ce ne sera pas long. Je vous demande d’être forts.
 
Il vous a été donné un remède, une arme unique et plus puissante que toutes vos armes terrestres. Cette arme, c’est le chapelet ! Votre arme c’est le chapelet ! Avez-vous bien compris ? Il n’y en a pas d’autres !!! N’allez pas chercher des réponses ailleurs pour vous faciliter la tâche, priez, priez, priez ! C’est le temps de la bataille et c’est une bataille d’Amour et de prières ! Tournez-vous vers nos deux Cœurs Unis, le chapelet à la main et n’ayez pas peur ! C’est maintenant que cela commence et s’en vient l’heure du choix ! Vous devez être prêts, maintenant !
 
Extraits du message donné le 4 février 2013 :
 
« L’heure est arrivée pour la Fille aînée de l’Eglise de boire son calice jusqu’à la lie. Ce temps sera sombre et l’on pleurera amèrement. »
« Pour mon Eglise aussi est venu le Temps de se mettre à genoux. Qui restera au pied de la Croix avec Mon Pape Bien-Aimé alors qu’on le crucifiera ? »
« Mon Pape embrassera la Croix mais très peu resteront avec Lui. Le monde sera dans le trouble et la consternation. Ne suivez pas le monde. »
« Rassemblez-vous en communautés et préparez maintenant vos refuges. Ils seront nombreux ceux qui vous demanderont aide et secours. Ne vous inquiétez pas de ce que demain sera, Je suis avec Vous ».
 
Extraits du message donné le 8 février 2013 :
 
« Les tribulations sont là mais vous ne vous en rendez pas compte. Le Malin vous a endormis dans la routine des nouvelles catastrophiques de vos médias. Plus rien ne vous touche et vous êtes devenus insensibles à ce qui se passe. Ne soyez pas accrochés à toutes ces nouvelles. Elles sont manipulées par le prince de ce monde et celles-ci vous manipulent à votre tour. Vous devenez ainsi des marionnettes entre ses mains, qui vous fait entrer dans un état selon son gré. Ayez une oreille alerte et attentive, car il vous faut rester éveillé. Mais priez Mon Esprit-Saint de vous éclairer et de vous donner le discernement nécessaire. Pour toute chose, usez-en à juste mesure. L’essentiel de ce qui a lieu n’est pas mentionné par vos médias… N’y restez pas accrochés. »
« Priez, priez, priez pour mes prêtres. Bientôt vous en chercherez désespérément et vous n’en trouverez pas. »
« Je vous appelle. M’entendez-vous ? Réveillez-vous, prenez maintenant votre réserve d’huile et gardez votre lampe allumée. Je viens comme un voleur, mais que celui qui a des oreilles entende : « Comment n’avertirais-Je pas celui ou celle avec qui Je vis chaque instant ? »
« Je préviens Mon petit Reste qui M’appartient. Déjà vous vivez le commencement des Temps nouveaux mais vous ne pouvez encore le voir tant que votre éveil n’est pas complet. Je guide vos cœurs encore embrumés par ce qui ne pourra être dévoilé que par notre face à face. Tout va s’enchaîner, c’est pourquoi vous devez garder une attitude détachée par rapport aux biens de ce monde. Tout va finir, du moins la société actuelle qui vous fait vivre dans un engrenage routinier voulu, afin de vous garder endormis et dépendants de leur système de consommation. Mais c’est fini ! Vivez ce carême avec attention, avec un cœur contrit et tourné vers Moi. Il marquera votre frontière entre l’ancien monde qui a vécu et le nouveau qui commence. Ce sera douloureux, mais n’ayez crainte. Combien deviendront fous ou enragés de cette situation. »
Priez pour Mon Saint Pape Benoît XVI. Ne l’abandonnez pas au milieu des loups. Car voici que votre berger sera frappé, vous laissant seul pour un temps.
 
Extraits du message donné le 10 février 2013 :
 
« Je t’ai invité à prier beaucoup pour Mon Saint Pape. Ce ne doit pas être qu’une dizaine de chapelet de temps à autre. Il souffre tant, il est si attaqué et l’ennemi ne cherche que le moyen de le détruire. Vous devez organiser une prière continue pour le soutenir. Faites dire des Messes pour Mon Pape. Réalisez une chaîne de prières. Il est plus que temps. Si peu étaient auprès de Ma Croix, tous m’avaient fui ou abandonné. N’abandonnez pas votre Pape qui arrive lui aussi au sommet de son Sacrifice. Accompagnez-le jusqu’au bout. Priez, priez, priez pour lui. »
« Votre vie sera témoignage pour les autres. J’agirai à travers vous pour changer les cœurs. Ne laissez pas la fausse église qui s’installera dans le monde vous troubler. Il faut que ce temps arrive. Gardez mes Paroles »
« En votre temps, Je viens rétablir Ma Création. Ce n’est pas du catastrophisme, c’est l’accomplissement de ma promesse : « Que Votre Règne vienne » et « Que Votre Volonté soit faite sur la Terre comme ceci est déjà au Ciel ».
« Mon Pape Paul VI vous l’a dit : « La fumée de Satan est entrée dans mon Eglise ». Et quelle souffrance pour mes Papes depuis ce jour. Encerclés et pris en tenaille par un piège qui les enferme de plus en plus. Mais Mon Esprit est là et Il s’en vient purifier Mon Eglise et la libérer de l’ivraie qui en blesse son image, en font fuir les plus faibles ; mais je la renouvellerai pour la rendre plus belle et éclatante que jamais. »
« Il n’est plus loin maintenant le temps où la date de la fête de Pâques sera commune à tous. Priez beaucoup pour cela, Mon Esprit vous offrira très bientôt ce grand miracle. »
 
Extraits du message donné le 11 février 2013 :
(Jour de l’annonce de démission de Benoît XVI)
 
« Ne laissez pas seul mon Pape au Calvaire. Abandonné de tous, mon Pape est sur le bois de la Croix avec Moi. Mon Esprit est sur lui et Je lui parle mes enfants. Dans sa souffrance et l’emprisonnement que votre Pape vit, Mon Esprit parle. Ce Carême doit être vécu comme le sommet de votre vie, afin de me revenir de tout votre cœur. Rien n’arrive sans que Je ne contrôle tout ceci. Il faut ce temps pour que l’Eglise sorte éclatante du tombeau. Ne vous inquiétez pas ensuite de la vacance du Saint Siège. Mon Esprit demeure parmi vous. Et même s’il se fera une lutte dans la barque de Pierre, celle-ci traversera les flots de la révolte et ressortira vainqueur. »
« L’Avertissement est là pour vous maintenant. Un grand miracle s’en vient au milieu de vous par l’intercession de Notre-Dame du Mont Carmel. »
« De profonds changements vont maintenant intervenir mais il y a lieu de garder votre paix. Je vous ai donné des refuges, Je garderai vos cœurs et Je vous avertirai du moment de votre départ. Vous ne manquerez de rien Mon Peuple, Je viens renouveler toutes choses et c’est maintenant. »
 
« J’ai envoyé Ma Mère à Fatima pour que le monde se convertisse et soit préparé. Qu’avez-vous fait de ce message ? Mon Eglise a manqué de force et de courage. Elle n’a pas révélé l’entièreté de mon Message. Maintenant vous êtes au cœur de celui-ci : Il faut que la Russie se consacre à mon Cœur Immaculé ». Priez, chacun d’entre vous pour que cette consécration se réalise. »
« Mes petits, quand il sera temps gardez-Moi précieusement dans vos tabernacles et restez avec Moi. Combien de martyrs il faudra encore compter ? Ils consoleront Mon cœur blessé par tant de haine et d’effroi. »
 
« Reprenez ces messages de Garabandal et faites-les connaître. Ils vous empêcheront de sombrer vers la fausse Eglise qui sera gérée par vos gouvernements sans Dieu. La Bête ne tardera plus à se montrer ouvertement aux yeux de tous. Si vous ne priez pas, il vous sera très difficile de discerner ces temps. Ils ont l’impression d’une victoire, alors que cela signifie la mise à jour de la vérité et le début de Mon Règne dans vos cœurs. Ce temps ne sera pas long, mais que de souffrances ! Il faudra beaucoup de temps ensuite pour tout reconstruire. Je vous donnerai une force nouvelle et de nouveaux yeux. »
 
« Il y aura beaucoup de changements, gardez ma Sainte Messe et protégez mes prêtres fidèles. » « Mon Saint Pape a lutté de toutes ses forces et il a été bien seul et peu soutenu. Le raz-de-marée des Loges ecclésiastiques ne lui a laissé que peu de choix. Mon Esprit Saint l’a conduit à prendre cette décision maintenant pour que tout ne soit pas perdu. »
 
« Ne soyez pas comme Mes Disciples qui ne pouvaient supporter l’idée de Ma Passion. Vos temps sont bien la Passion de Mon Eglise. Elle semblera morte mais ressuscitera plus belle que jamais. »
 
« Sauvegardez Mon Pain de Vie mes petits. Ne les laissez pas pousser leur sacrilège jusqu’à supprimer complètement Mon Saint Sacrifice. Il y aura une grande confusion et seul mon petit Reste Me sera fidèle. La profanation est proche mes enfants… Faites pénitence ! Convertissez vos cœurs ! »
 
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